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Souvent appelé l'horloge biologique, le rythme circadien est un cycle lumineux de 24 heures qui régule notre santé physique et mentale.


Nous avons demandé au Chat GPT de répondre à nos questions et voici le résultat.


Quels sont les danger de la lumière bleue ?


1. Fatigue oculaire, maux de tête et douleurs oculaires. 2. Troubles du sommeil : L'exposition à la lumière bleue avant le coucher peut perturber le rythme circadien et causer des problèmes de sommeil. 3. Risque de maladies oculaires : Une exposition prolongée à la lumière bleue peut augmenter le risque de développer des maladies oculaires telles que la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA). 4. Risque de cancer : Certaines études ont suggéré que l'exposition à la lumière bleue peut augmenter le risque de cancer, en particulier le cancer du sein et le cancer de la prostate.


La lumière bleue est une partie de la lumière visible à haute énergie et à courte longueur d'onde émise par le soleil, les écrans d'ordinateur, les téléphones portables, les tablettes et les lampes LED. Une exposition excessive à la lumière bleue peut avoir des effets négatifs sur la santé


Il est recommandé de limiter l'exposition à la lumière bleue en utilisant des filtres de lumière bleue sur les écrans, en réduisant l'utilisation des appareils électroniques avant le coucher, en portant des lunettes de protection contre la lumière bleue et en utilisant des sources de lumière à faible émission de lumière bleue.


Quels sont les perturbateur du rythme circadien ?


Les perturbateurs du rythme circadien sont des facteurs qui peuvent perturber notre horloge biologique naturelle et notre cycle veille-sommeil. Voici quelques exemples de perturbateurs du rythme circadien : 1. La lumière bleue : l'exposition à la lumière bleue émise par les écrans d'ordinateur, les téléphones portables, les tablettes et les lampes LED peut perturber notre horloge biologique et affecter notre sommeil. 2. Les changements de fuseau horaire : voyager à travers différents fuseaux horaires peut perturber notre rythme circadien et entraîner des problèmes de sommeil et de fatigue.

3. Les horaires de travail irréguliers : travailler en horaires décalés ou en rotation peut perturber notre rythme circadien et affecter notre sommeil et notre santé. 4. Les habitudes alimentaires : manger tard le soir ou sauter des repas peut perturber notre horloge biologique et affecter notre sommeil. 5. Le stress et l'anxiété : le stress et l'anxiété peuvent perturber notre sommeil et notre rythme circadien. Il est important de maintenir une routine de sommeil régulière, de limiter l'exposition à la lumière bleue avant le coucher, de manger des repas réguliers et équilibrés, et de gérer le stress pour maintenir un rythme circadien sain.

Durant la journée, l’activité de nos gènes oscille en deux grandes vagues, l’une matinale, l’autre vespérale. Mais ces vagues, plus amples chez la femme que chez l’homme, s’amenuisent avec l’âge, montre une étude dans la revue « Science ».



C’est une histoire de gènes dont l’activité oscille, dans nos cellules, au cours du jour et de la nuit. Formant deux grandes vagues, l’une le matin, l’autre le soir, dont la hauteur varie selon nos tissus. Le groupe de gènes concernés diffère selon nos tissus. Par ailleurs, ces vagues apparaissent plus marquées chez les femmes que chez les hommes, mais elles sont émoussées par l’âge dans les deux sexes.

Telles sont, en substance, les découvertes d’une exploration inédite, menée sur des tissus humains prélevés chez 914 donneurs peu après leur décès. Publiée dans la revue Science du 3 février, cette analyse met ainsi au jour la mécanique intime de notre horloge circadienne, cet engrenage moléculaire qui donne à nos cellules l’heure de la journée – elles pourront ainsi ajuster leurs tâches aux besoins de l’organisme.


Mais pourquoi ce nom d’horloge « circadienne » – du latin circa,« proche de », et dies, « jour » ? Parce que cette pendule, chez notre espèce, est réglée sur une période moyenne de vingt-quatre heures et douze minutes. Cette durée dépend toutefois des individus. Chez les couche-tôt, l’horloge est plus rapide (sa période tend vers vingt-trois heures et trente minutes) ; chez les couche-tard, elle est plus lente (vingt-quatre heures et trente minutes). Quel que soit notre chronotype, notre horloge interne doit se caler sur un rythme de vingt-quatre heures. Elle utilise pour cela des synchronisateurs externes : lumière du jour, rythme de nos repas et de nos activités quotidiennes…



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